.

Comment je suis devenue accompagnatrice en décodage biologique

Peut-être vous demandez-vous ce qui m’a amené au décodage biologique (ou bio-décodage) et pour quelle raison je suis passionnée par cette approche?

Pour tout vous dire, ce sont les événements de la vie qui m’ont guidée là pas-à-pas…

J’étais toujours très mal à l’aise lorsqu’on me demandait: « Qu’est-ce que tu veux faire quand tu seras grande? » Faute de vocation, j’ai suivi les conseils de mon entourage. Et j’ai choisi le cursus qui m’intéressait le plus… ou me désintéressait le moins… J’ai collectionné les diplômes pour gagner du temps, espérant un déclic salvateur!

Je suis sortie de l’université avec le titre de juriste en droit de l’environnement et de l’urbanisme. Après quelques missions dans cette branche, j’ai passé le concours pour être enseignante. J’ai exercé dans l’éducation nationale pendant une dizaine d’année.

Durant toute cette période, je m’intéressais aux méthodes de santé naturelle : le régime crétois, les travaux du Dr Kousmine, les propriétés des plantes, des huiles essentielles… Je me documentais et j’ai suivi une formation en aromathérapie pour mon usage personnel.

Ma vie a pris un tournant en 2010 quand plusieurs de mes proches ont eu d’importants problèmes de santé (cancers…). J’ai voulu en comprendre le sens car leur maladie ne me semblait pas déconnectée de leur histoire. En cherchant sur internet je suis tombée par hasard sur le décodage biologique.

Curieuse, avide, pressée de comprendre et d’avoir des réponses à mes questions, j’ai décidé d’intégrer l’école de bio-décodage… Pour voir… C’est alors que mon regard sur la vie a commencé à changer.

Passionnée par ce que je découvrais, j’ai suivi pas-à-pas tout le cursus proposé à cette époque, incluant la PNL (programmation neuro-linguistique), l’EMDR (mouvements oculaires), la psychogénéalogie, les cycles mémorisés de Marc Fréchet.

En parallèle, je me suis faite accompagner en décodage biologique. J’ai alors pu mesurer combien cette approche me transformait et me libérait.

A l’issue des 3 années de formation, il m’est apparu évident que ma place était là! Être accompagnatrice à mon tour pour aider tout comme on m’avait aidée!

J’ai donc démissionné en 2014 pour avoir la possibilité de compléter mes connaissances en biodécodage. Je me suis alors formée en hypnose ericksonienne, hypnose conversationnelle et en neuroscience.

En 2015, j’ouvrais mon cabinet dans le Vaucluse.

Pourquoi le décodage biologique?

Comme beaucoup, j’ai traversé une période de vie difficile durant laquelle j’ai eu besoin d’être aidée. Avant de rencontrer le bio-décodage, j’avais essayé toutes sortes d’approches. J’avais piétiné pendant des années avec différents thérapeutes pour des résultats très mitigés.

Il y a eu toutes ces fois où je me suis retrouvée seule à pleurer dans ma voiture. Le temps qui m’avait été accordé pendant la séance n’avait pas été suffisant pour aller jusqu’au bout du processus…

Il y a eu ces moments humiliants où le thérapeute se tenait dans mon dos, porte grande ouverte, pendant que je remplissais à la hâte le chèque de la séance.

Il y a eu ces sentiments de frustration et de colère quand je devais contenir mes émotions. Parce que le thérapeute en face de moi n’était pas en capacité d’accueillir ce que j’avais besoin d’exprimer.

Il a eu toutes ces fois où je me suis sentie incomprise. Parce que le thérapeute tentait de m’imposer un point de vue qui ne résonnait absolument pas en moi.

Bref, j’avais essayé dans toutes les directions mais j’avais très peu avancé jusque-là.

En revanche, dès les premières séances de décodage biologique, j’ai senti que je m’allégeais. Chaque séance était un séisme émotionnel qui me libérait profondément d’un poids supplémentaire et me transformait peu à peu.

J’ai cheminé ainsi pendant quelques années, au rythme de mes besoins.

Aujourd’hui, je ne suis plus la même personne.

Ce qui m’a mise en confiance et que j’ai apprécié dans le décodage tout comme dans l’hypnose ericksonienne, c’est l’état d’esprit du thérapeute:

  • L’écoute attentive et bienveillante.
  • La capacité à accueillir les émotions sans jugement.
  • L’humilité qui consiste à émettre des hypothèses sur l’origine du symptôme sans jamais imposer une vérité.
  • La certitude que chacun a la capacité de se transformer.
  • La conviction que l’inconscient a toujours les ressources pour dépasser ses problèmes.

Par ailleurs, le propre du biodécodage et de l’hypnose est d’agir sur la partie inconsciente de l’individu. L’expérience m’a montrée que c’est elle qui nous pilote. Essayer de régler un problème qui relève d’un comportement inconscient avec des techniques qui parlent uniquement au conscient est souvent perdu d’avance.

Convaincue de la qualité de cette approche, j’ai à cœur aujourd’hui d’accompagner à mon tour, tout comme j’ai été accompagnée.

Et depuis…

Après la psychose COVID de 2020, je me suis sentie poussée à partager une synthèse de ce que mon expérience m’avait amenée à comprendre. En 2024, j’ai publié « Pour un éveil des Consciences, »

« Connais-toi toi-même » ! Qui n’a pas entendu cela au moins une fois dans sa vie ? Cette célèbre maxime inscrite sur le fronton du Temple de Delphes indique la direction à suivre pour qui cherche à s’éveiller et à se libérer de la prison invisible qui nous limite. C’est parce que les murs qui nous enserrent ne sont pas faits de pierres qu’il est si difficile de s’en échapper. Arpenter le chemin vers la connaissance de soi, c’est découvrir les programmes qui nous maintiennent captifs à notre insu.

Vous pouvez lire les premières pages sur le site de Bookelis:

https://www.bookelis.com/developpement-personnel/61697-Pour-un-eveil-des-consciences.html